Avec une vision claire, la bonne approche, et beaucoup de ténacité, il n’y a pas de rêves en dehors de ta portée.
Chaque pas dans la bonne direction, aussi modeste puisse-t-il paraître, te rapproche de tes rêves. Cela est valable, peu importe notre situation actuelle. Par exemple, on peut grandir dans un milieu agricole et, en l’espace de quelques années, devenir une référence dans le business en ligne. On peut passer d’un sentiment de malaise et d’une difficulté à se sentir à sa place, à être millionnaire et conseiller d’autres entrepreneurs à réussir sur le web.
Bien sûr, cela ne se fait pas en se tournant les pouces ou en restant au chaud dans sa zone de confort. Il faut faire preuve de détermination, être prêt à apprendre de nouvelles compétences et à se remettre constamment en question.
Mais c’est possible. C’est à ta portée.
Dans cet article, découvre comment un fils d’agriculteur est devenu millionnaire sur le web.
De la patate à 100 patat€s de Maxence Rigottier
Démarrer avec peu ou rien du tout n’est pas seulement la réalité pour beaucoup d’entre nous, c’est aussi le début de l’histoire de réussite de Maxence Rigottier. Dans son livre « De la patate à 100 patates », Maxence partage sa propre expérience d’entrepreneur sur le web. Ce n’est pas seulement le récit de son ascension, mais un miroir dans lequel tu pourras te voir et te dire : « Si lui, il l’a fait, pourquoi pas moi ? »
Déjà pendant sa scolarité, il était clair que la voie classique du salariat n’était pas faite pour lui. Le fil conducteur de sa vie est la liberté. Le désir le plus grand de Maxence est de vivre sa vie à fond, de ne pas avoir de regrets à la fin de sa vie. Et il est prêt à payer le prix de sa liberté.
C’était fin 2010, et Maxence n’avait que 21 ans. Pas d’expérience, pas de compétences particulières non plus. En tant que fils d’agriculteurs de la campagne bourguignonne, il était très loin du monde du web et de l’entrepreneuriat.
Mais il ne manquait pas d’ambition et d’une énorme motivation.
Les 4 zéros de départ d’un Business
Voilà ses quatre zéros, ses faiblesses de départ que 99 % des gens utilisent comme excuse pour même pas essayer :
- Zéro capital : comment faire pour démarrer une entreprise quand on n’a pas d’économies ou d’aide familiale ?
- Zéro connaissance : par quoi commencer ? Qu’est-ce que l’on peut proposer aux autres quand on a l’impression de ne rien connaître, de ne rien avoir à offrir ?
- Zéro compétence : comment réussir sur Internet alors que l’on n’a pas de compétence technique ?
- Zéro réseau : comment trouver de l’aide et traverser les moments difficiles alors que notre entourage ne comprend même pas ce que nous essayons de faire ?
Pourtant, Maxence a choisi de ne pas voir ces quatre zéros comme des limites. Il a décidé de les voir comme des défis à relever. Avec du courage, une stratégie claire et une volonté d’apprendre, il était convaincu que ces obstacles pouvaient se transformer en tremplins pour le succès.
La perseverance pour arriver aux résultats
Il a commencé petit, avec ce qu’il avait – un vieil ordinateur et une connexion internet, mais surtout, son ambition et sa détermination. Il a choisi un domaine qu’il connaissait bien (le football), il a créé son premier site web, et il s’est mis au travail.
Et les résultats ne se sont pas fait attendre. Bon, en fait, si.
Pendant les 11 premiers mois de son activité (de février à décembre 2011), il a gagné très exactement zéro euro. De quoi bien fêter, n’est-ce pas ? L’année suivante, en 2012, son chiffre d’affaires a carrément explosé : 8 000 €. Sur l’année, pas chaque mois.
Peu importe si, pour un œil extérieur, bosser à fond pendant un an pour gagner moins de 700 € par mois n’en valait pas la peine. Maxence était conscient qu’il avait réussi à enclencher le processus. Désormais, il avait un produit qui intéressait les gens, et il arrivait à vendre !
Si on fait un bond en avant, 10 ans après ses premiers pas, Maxence est à la tête d’une entreprise florissante.
Il accompagne plusieurs centaines de clients grâce à ses formations et ses coachings, il organise des séminaires auxquels participent plusieurs centaines de personnes (d’ailleurs, le prochain a lieu à Paris le 1-2 et 3 décembre ; clique ici si tu souhaites participer).
Et il a atteint un revenu net de 30 000 euros par mois.
Pas mal pour quelqu’un qui a grandi à la campagne, avec des opportunités professionnelles très limitées, et qui partait de zéro.
Développer ses compétences
Les difficultés de ses débuts sont la conséquence directe d’une règle qui existe partout en nature : maîtriser une compétence jusqu’à exceller dans celle-ci demande du temps. Des études scientifiques ont estimé à 10 000 heures le temps de pratique délibérée nécessaire pour devenir expert dans un domaine.
Malheureusement, cette règle de vie est à l’opposé de l’attitude suggérée partout dans les médias : « Je veux tout, et tout de suite !!! ». Des attentes irréalistes pour des résultats immédiats nous empêchent d’atteindre des résultats significatifs dans notre vie.
Voici les trois principaux pièges du débutant auxquels faire attention pour ne pas abandonner un projet important :
- Abandonner avant même d’avoir vraiment commencé : la plupart des gens qui souhaitent se lancer laissent tout tomber au bout de quelques jours ou quelques semaines. C’est ce qui arrive à 90 % des gens qui s’inscrivent à une salle de sport ou qui achètent une formation. Ils ne vont jamais au bout du programme. Et c’est une excellente nouvelle pour les plus déterminés : il y a peut-être beaucoup de monde au départ, mais il y en aura de moins en moins à l’arrivée !
- Renoncer dès l’apparition des premiers obstacles : les histoires de succès fulgurant du jour au lendemain font la une des journaux justement parce qu’elles représentent une infime minorité de ce qui se passe dans la vraie vie. Pourtant, c’est ce à quoi s’attendent la plupart des gens. Il est indispensable de faire preuve de persévérance et de ne pas abandonner, même si les premiers résultats sont en dessous de tes attentes.
- Mourir de soif pendant la traversée du désert : quand on lance une activité entrepreneuriale, on ne sait pas quand celle-ci commencera vraiment à décoller. Encaisser cette incertitude et persévérer peut être très difficile. Rencontrer des moments difficiles lors desquels on pense à tout laisser tomber est quelque chose de naturel, voire inévitable. Chaque projet ambitieux, même en dehors de l’entrepreneuriat, demande de supporter la traversée du désert.
La meilleure manière pour rester motivé et éviter ces trois pièges, c’est d’avoir un POURQUOI puissant, une raison très profonde qui nous pousse à agir.
Il n’est pas rare au départ que cette raison soit parfaitement égoïste. On cherche d’abord à améliorer sa propre situation personnelle : plus de temps libre, plus d’argent, de meilleures conditions de vie.
Mais au fur et à mesure que le projet avance et dès que les résultats commencent à arriver, cette motivation se transforme peu à peu en un pourquoi altruiste, en un projet dans lequel la contribution que l’on apporte aux autres et au monde nous motive tout autant que les raisons personnelles derrière notre projet.
L’entrepreneuriat et l’échec
Mais connaître notre pourquoi puissant ne nous évitera pas de rencontrer des échecs tout au long de notre projet. C’est intrinsèque à la nature même d’un projet d’entreprise : tu as décidé, tu as osé entreprendre des choses. Tu sors régulièrement de ta zone de confort.
Donc, forcément, il y aura des moments où tu vas te tromper, où tu prendras une mauvaise décision.
Pour t’aider, voici trois règles pour développer un rapport plus sain avec l’échec :
- Règle n°1 : l’échec fait partie de l’aventure ! Ne sois pas surpris ni déçu quand cela arrive, qu’il s’agisse d’un petit échec ou même d’un grand. C’est juste inévitable.
- Règle n°2 : l’échec est une source d’information ! Bien sûr, le sentiment d’échec est désagréable et tout le monde préférerait l’éviter. Pourtant, c’est grâce à nos erreurs que nous allons apprendre et nous améliorer. Il est utile de se détacher émotionnellement de sa frustration et de se poser la question : qu’est-ce que je peux apprendre de cette situation ?
- Règle n°3 : l’échec doit être rapide ! C’est très bien de prendre le temps pour bien réfléchir et analyser la situation pour décider du cours d’actions le plus prometteur. Mais une fois que cette réflexion a eu lieu, cela ne sert à rien de tergiverser. Il vaut beaucoup mieux d’essayer, puis de corriger rapidement le tir et d’adapter son approche si nécessaire. Comme on dit aux États-Unis : fail often, fail fast. Échoue souvent, échoue vite. Tu arriveras plus tôt au succès.
Un concept essentiel à garder en tête pour développer son projet d’entreprise, c’est qu’il n’est jamais question d’options binaires : ça marche ou ça ne marche pas, ça passe ou ça casse.
Il s’agit plutôt d’un processus évolutif itératif, d’amélioration continue.
On fait des hypothèses sur ce qui pourrait fonctionner, on teste, on observe les résultats, on tire des enseignements et on décide comment faire différemment la fois d’après pour obtenir de meilleurs résultats.
Et puis c’est reparti pour un tour.
Pour assurer la réussite de ton projet, il vaut mieux appliquer et apprécier ce processus itératif plutôt que d’attendre l’idée géniale qui va tout déchirer.
Cela me fait penser à l’expérience de Thomas Edison lors de l’invention de l’ampoule. On dit qu’il a dû mener 10 000 expériences qui n’ont pas fonctionné avant de trouver la solution. Et à la question : « mais comment avez-vous fait pour ne pas vous décourager et continuer, même après 10 000 échecs ? » Edison aurait répondu : « Je n’ai pas échoué 10 000 fois. J’ai découvert 10 000 manières dont cela ne fonctionne pas.«
Ce rapport profondément non-linéaire entre tentatives échouées et réussites est plein d’espoir. Peu importe si on a déjà essayé 10 000 fois sans trouver la solution. Il suffit d’une seule tentative qui réussit pour en sortir gagnant.
3 ingrédients indispensables à la réussite d’un business
Quels sont donc les ingrédients indispensables pour maximiser les chances de réussite de ton projet entrepreneurial ? D’après Maxence, il y en a trois :
- La passion : pour que tu puisses t’investir à fond dans ton projet, rester déterminé lors de la traversée du désert, tu dois être passionné par le sujet de ton business. Si tu ne sais pas trop par quoi commencer, pense à tes passions, à tes centres d’intérêts. Pense à ce que tu aimais faire quand tu étais jeune, ou ce que tu aimes faire en vacances ou dans ton temps libre. Si la passion est un ingrédient indispensable, elle n’est par contre pas suffisante pour la réussite de ton business. Voici les deux autres.
- Les compétences : Qu’est-ce que tu sais faire mieux que la moyenne ? En quoi es-tu bon ? Pas besoin d’être un expert mondial dès le premier jour. Tu auras le temps de te former et de t’améliorer par la suite. Mais tu dois en savoir plus que tes clients afin de pouvoir les aider. La bonne nouvelle ? C’est que souvent, nous avons des facilités naturelles dans les domaines dont nous sommes passionnés. Si nous ne les avons pas déjà, développer des compétences relatives à notre passion peut être un processus simple, rapide, et même plaisant.
- L’existence d’un marché : L’idée de vivre de sa passion est certes romantique. Mais elle ne peut fonctionner que s’il y a des gens qui sont disposés à acheter des produits ou services pour satisfaire leur besoin et qu’ils en ont la capacité. Si dans ton business tu veux t’adresser à des particuliers, il existe des thématiques dont le marché est assuré comme l’argent, la santé et les relations.
Finalement, se construire une vie libre et indépendante ne relève pas de la magie. C’est le résultat d’un processus certes exigeant, mais en même temps assez simple et à la portée de tout le monde.
On reste focus jour après jour sur son projet. On analyse et on améliore constamment ce qui ne fonctionne pas. On se remet en question quand cela est nécessaire.
Voilà, tu connais désormais l’expérience inspirante de Maxence Rigottier et ses conseils pour se construire une vie libre et un business à succès.
Bien sûr, cette synthèse, ce n’est qu’un aperçu de tout ce que Maxence partage dans son livre. Si tu souhaites profiter davantage de tout ce qu’il a appris en 12 ans d’entrepreneuriat sur Internet, je te conseille vivement de lire le livre.
Si cela t’intéresse, tu peux également rejoindre son Club Privé revenus passifs.
Si tu es intéressé à en savoir davantage sur comment lancer ton Business et réussir, je t’invite à regarder la synthèse animée dédiée au livre « C’est à toi !! Le guide d’outsider pour développer ton business » de Ramit Sethi.
Et toi ? Est-ce que l’aventure de l’entrepreneuriat en ligne te tente ?
Quels sont les freins ou les obstacles qui ne te permettent pas de sauter le pas ?
N’hésite pas à partager ton expérience et tes réflexions à l’ensemble de la communauté Mind Parachutes en laissant un commentaire !!
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