Tu veux en savoir plus de 3 principes de développement personnel qui ont profondément transformé ma vie ? Les voici :

  1. L’acceptation de la responsabilité
  2. La vision
  3. Les compétences

Il s’agit de 3 parmi les 12 piliers que Jim Roh, un auteur que je considère parmi mes plus grands mentors, indique dans son livre « Les 12 piliers ».

Découvre comment j’ai intégré ces 3 principes dans ma vie, et comment cela a transformé ma manière de voir les choses.

Si cela t’intéresse, sur la chaîne Youtube Mind Parachutes tu peux trouver une synthèse animée de ce livre.


1. L’acceptation de la responsabilité

Je commence par l’acceptation de la responsabilité.

Il y a une affirmation que je rencontrais beaucoup dans mes lectures de développement personnel, et qui au départ me paraissait profondément fausse, limite trompeuse. C’est l’affirmation selon laquelle tu es toujours 100% responsable des résultats que tu obtiens dans ta vie.

Comment est-ce que l’on peut affirmer que j’ai toujours la responsabilité de mes résultats ?

Si je regarde bien, je n’ai pas choisi une énorme partie des facteurs qui sont déterminant dans ma vie : le lieu et le moment historique dans lequel je suis né.

Je n’ai pas choisi ma famille, mon éducation et les influences culturelles auxquelles j’ai été exposé quand j’étais petit.

Plus tard, dans le monde du travail, je n’ai pas choisi mes collègues. Je n’ai pas choisi les propos et les comportements pas toujours impeccables que les personnes ont eu à mon égard.

Et je n’ai aucun pouvoir de choix sur des événements complétement en dehors de mon pouvoir : mon état de santé (et de celui de mes proches), des accidents ou des situations fortuites qui peuvent complétement changer mon existence dans l’espace de quelques instants.

Pendant longtemps, j’étais même réfractaire à l’idée que je me puisse vraiment considérer responsable de ce qui se passe dans ma vie.

Plus j’y pensais, plus j’avais l’impression que c’était même le contraire : en fait, ma vie est le résultat de beaucoup d’évènements sur lesquels je n’ai aucune emprise.

Mais, maintenant que je connaissais cette affirmation (que je suis toujours 100% responsable des résultats que j’obtiens dans ma vie), j’ai commencé à la voir exprimée d’un nombre croissant de personnes qui avaient eu des grands résultats dans leur vie.

Non seulement plusieurs grands auteurs de développement personnel l’écrivaient dans leurs livres ou dans leurs programmes. Mais c’était aussi ce que des grands athlètes, des acteurs connus, voir des entrepreneurs à succès, partageaient dans leurs interviews.

Qu’est-ce que je ne comprenais pas de cette manière de voir les choses ?

Puis, c’est grâce à un livre de Stephen Covey (les 7 habitudes de tous ceux qui réussissent ce qu’ils entreprennent), que j’ai compris la vraie signification de ce pilier.

Et qui me donnait une vision complétement nouvelle sur ma propre responsabilité.

Bien sûr, je n’ai pas de choix sur les circonstances, les gens, les événements que je rencontre dans ma vie. Sur ces choses, je n’ai aucune emprise.
Mais je suis toujours 100% responsable de la manière à laquelle je réagis, face à ces circonstances.

En biologie, on pourrait parler de réponse à un stimulus. Un organisme vivant est exposé à un stimulus de son environnement, et son comportement s’adapte pour réagir à cette situation.

Tant que l’on pense que ce sont les stimuli auxquels nous sommes exposés qui déterminent notre vie, que notre réaction est déterminée par les circonstances, finalement, nous n’avons aucune liberté.

Nous sommes simplement des spectateurs passifs de notre vie.

Mais si nous acceptons que nous sommes 100% responsables, alors nous affirmons que, devant à une situation, à un stimulus donné, nous sommes libres de choisir notre réponse.

Cela ne sera pas toujours simple, cela va parfois demander beaucoup d’effort, et beaucoup de courage, mais si on choisit d’adopter cet état d’esprit, nous affirmons que ce sont nos choix face à ces circonstances qui déterminent notre vie, beaucoup plus que les circonstances elles-mêmes.

Il s’agit peut-être d’une simple vision de l’esprit. Et que la vérité se trouve entre les deux.

Mais personnellement, je préfère choisir une posture qui me rend libre et qui me place en acteur de ma vie, plutôt qu’une posture qui m’invite à prendre une posture passive, et qui réduit ma liberté.

2. La vision

Le deuxième pilier que je souhaite approfondir avec toi, est celui de la vision.

Peut-être parce que dans ma jeunesse j’ai passé 3 ans dans la Marine Militaire italienne, je suis très sensible à cette citation du philosophe grec Sénèque : « Il n’y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va ».

Une fois que l’on est en pleine mer, et dans la vie cela nous arrive très régulièrement, la seule manière d’assurer une issue favorable à notre voyage, est de connaître la destination que nous souhaitons atteindre.

Tant que nous sommes enfants, nous arrivons à nous projeter dans notre vision de vie.

A la question : qu’est-ce que tu veux faire quand tu seras grand, chaque enfant a des réponses tellement incroyables et originales, que l’on peut très facilement deviner la nature et la personnalité de l’enfant grâce à ces réponses.

Pour moi, c’était de devenir astronaute, pilote d’avion, ou vétérinaire.

Je pouvais déjà là deviner 3 valeurs qui ont toujours une place centrale dans ma vie : la liberté, l’aventure, et le contact avec d’autres êtres vivants.

Malheureusement, avec l’âge, nous commençons peu à peu à intégrer les attentes que la société et notre entourage projettent sur nous. Nous voulons que nos parents soient fiers de nous, nous voulons devenir des membres respectés de la société.

Et la manière dont nous pensons que cela peut arriver, c’est en répondant toujours positivement à leurs demandes et leurs attentes.

Je ne sais pas toi, mais personnellement j’ai vécu pendant presque 20 ans (entre mes 15 et 35 ans) en essayant de faire ce que je pensais que les autres attendaient de moi.

Je ne peux même pas dire que les résultats n’étaient pas là : j’avais réussi mes études, trouvé un travail stable et prestigieux, j’avais un bon salaire.

Seul problème : je n’étais pas épanoui dans ma vie.

C’est à ce moment que je me suis rendu compte que si je continuais à faire ce que les autres s’attendait de moi, certes j’allais peut-être les rendre contents (et encore, je me demande si cela est vrai).

Mais ce qui allait sûrement arriver, à la fin de ma vie, c’est que j’aurais regretté de ne pas avoir eu la force de créer ma propre vision de la vie que je voulais vraiment, et de ne pas avoir eu le courage de la suivre.

Il s’agit du regret n°1 des personnes en fin de vie, comme l’explique Bronnie Ware dans son livre « Les 5 regrets des personnes en fin de vie ».

Voici comment elle l’exprime : « J’aurais aimé avoir le courage de vivre une vie fidèle à moi-même, et non celle que les autres attendaient de moi ».

Vivre la vie fidèle à nous-mêmes demande du courage. Nous risquons de nous exposer à la critique ou au refus des autres.

Mais c’est aussi une condition indispensable pour nous sentir libres et indépendants.

Est-ce que de ton côté, as-tu l’impression de vivre une vie que les autres ont décidé pour toi, ou alors c’est toi qui as créé la vision des expériences de vie que tu souhaites vivre ?

3. Les compétences

Le troisième pilier dont je veux te parler est celui des compétences.

J’ai passé une grande partie de ma vie d’enfant à étudier. A l’université, j’ai même choisi d’obtenir un double diplôme en France et en Italie, ce qui a rajouté encore 2 ans d’études supplémentaires.

Une fois obtenu mes diplômes, et une fois rentré dans la vie active, j’ai pensé : c’est bon !

Finalement c’est fait ! J’ai fini d’étudier.

Maintenant je peux me concentrer sur mon travail, et profiter des moments libres et des week-ends pour profiter et m’amuser.

Sauf que, très vite, je me suis rendu compte que, si je voulais continuer à progresser dans ma vie, tant personnelle comme professionnelle, il me restait encore énormément de choses à apprendre.

Les personnes qui avaient des postes à responsabilités savaient faire des choses que je ne connaissais pas du tout : elles savaient gérer des projets, communiquer de manière impactante, manager des équipes.

J’ai longtemps cultivé l’envie de créer ma propre entreprise (chose que j’ai réussi à faire plus de 10 ans plus tard). Et là aussi j’avais des énormes lacunes : je ne m’y connaissais rien en marketing, vente ou entrepreneuriat.

Et puis, avec l’expérience, je me suis rendu compte que les connaissances théoriques, même si elles sont extrêmement utiles, elles ne sont pas celles qui apportent le plus de valeur.

Finalement, ce qui fait encore plus la différence sur les résultats que l’on arrive à obtenir, ce sont les compétences humaines.

La personne que l’on est, est plus importante que les choses que l’on fait.

Tu peux beaucoup profiter des objectifs que tu définis pour toi et ta vie, afin de développer tes compétences. Comme l’a dit si bien Jim Rohn : le vrai intérêt de se fixer des objectifs, ce n’est pas ce que l’on peut obtenir une fois qu’on l’a atteint.

L’intérêt principal de se fixer un objectif, est la personne que tu dois devenir pour l’atteindre.

Personnellement, un des objectifs de vie qui m’ont le plus poussé à développer des compétences très large, et pour lesquelles je commence maintenant à en voir les fruits, c’est le fait de créer mon propre business.

Je trouve que créer une activité entrepreneuriale, surtout quand il s’agit d’un tout petit business, nous met dans une posture où on n’a pas le choix que de continuer à apprendre.

On est constamment confronté à des nouvelles situations, pour lesquelles nous n’avons pas le compétences techniques, métier ou humaine, pour le gérer correctement.

Par exemple, mon focus en ce moment, il porte sur les compétences de vente.

Parfois, au quotidien, cela peut être fatiguant. On a l’impression que cela ne s’arrêtera jamais. Et effectivement, je pense que ce soit le cas : on n’a jamais fini d’apprendre.

Mais quand on prend du recul, et on regarder derrière soi le chemin que l’on a parcouru en 6 ou 12 mois, cela peut vraiment nous surprendre.

La rapidité avec laquelle je développe des nouvelles compétences grâce à mon activité d’entrepreneur est beaucoup plus grande que comme salarié et manager dans une grande entreprise.

Et je suis convaincu que sur le long terme, à condition de rester ouvert à l’apprentissage et à se remettre en question, cette posture d’apprentissage continu va vraiment faire la différence.


Voilà les enseignements principaux que j’ai tiré du livre « Les 12 piliers », de Jim Rohn et Chris Widener.

Et toi ? quels sont les piliers fondamentaux sur lesquels tu as construit ta vie ?

Comment est-ce que tu peux pratiquer la responsabilité, la vision, les compétences, et l’attitude positive dans ton quotidien ?

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